Durant les dernières décennies du XIXème siècle et les premières années du XXème, un nombre toujours croissant de cafés-concert, de music-hall, de cirques, vont devenir les hauts lieux de la « sociabilité populaire ».
Pour faire vivre scènes et pistes de ces établissements, des artistes du rire, de la chanson, de la danse, des gymnastes, des équilibristes, des clowns, des cow-boys, des comiques-troupiers, des danseuses de french cancan… s’affichent à tous les carrefours.
Les fondateurs de l’A.R.T., qui, enfants, avaient connu cette effervescence, nous en ont précieusement conservé le témoignage, sous la forme d’une collection d’affiches, dont celles de Faria, qui devait, en 1911 disparaître en pleine gloire, sont parmi les plus nombreuses.